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RSE COLLABORATIVE, EMPOWERMENT : VERS UN NOUVEAU MODELE DE MANAGEMENT ?

Dernière mise à jour : 17 avr. 2023

Répondre aux enjeux de développement durable, nouveau challenge pour les entreprises, impactant leurs stratégies et leurs process. Elles revoient leur organisation, et leur modèle de management, pour impliquer les collaborateurs dans leur démarche RSE.



Empowerment & RSE

Les salariés ont des attentes de plus en plus fortes en matière de Responsabilité sociétale des entreprises et les décideurs ne peuvent plus faire cavalier seul. Au-delà de l’attractivité des entreprises engagées, chacun, pour être embarqué dans la dynamique globale doit pouvoir s’investir concrètement, en contribuant directement aux actions RSE de son organisation. Les managers en particulier ont un rôle crucial dans l’empowerment des collaborateurs sur les sujets RSE. Comment faire en sorte qu’ils soient acteurs et non plus spectateurs du changement. Laisser place à l’intelligence collective comme source d’innovation. Vers un nouveau modèle de management participatif ?


BA-BLA

2 employés sur 3 ne savent pas si leur entreprise a mis en place une politique RSE, et 64% des salariés souhaiteraient en savoir plus - source l’ObSoCo 2022. Or s’il y a une partie prenante que les dirigeants doivent prendre en compte, c’est bien les collaborateurs. Ils sont naturellement les plus concernés par la dimension sociale des politiques RSE de leur entreprise : conditions de travail, lutte contre les discriminations, équilibre vie pro - vie perso, bien-être au travail… mais qu’en est-il des questions environnementales ? Au-delà du bien-être individuel, les collaborateurs s’impliquent aussi sur les enjeux climatiques pour étendre leurs convictions personnelles à la sphère de l’entreprise.

Facteur de dialogue et d’innovation, la RSE suppose des modes de management plus participatifs. Communication et partage d’informations soit, mais distribuer son rapport RSE une fois par an ne suffit plus. Il faut impliquer, former et donner les clés de compréhension, et le pouvoir d’agir à tous les collaborateurs en tant que partie constituante. Les bénéfices de part et d’autre sont sans appel : de la valorisation de la marque employeur à l’attractivité en passant par le sentiment d’appartenance et une meilleure productivité. Tout le monde y gagne, si tant est que les objectifs soient clairs, pour que tous les employés puissent s’approprier la démarche et mettre des mots sur les actions pour pouvoir les relayer.

On visera ici plus un état d’esprit qu’une méthode unique. L’empowerment RSE se traduit différemment selon la taille, les moyens, le secteur d’activité (plus ou moins impactant) et surtout les ambitions d’une entreprise.

Les porteurs des démarches RSE varient aussi, entre les directions dédiées ou les directions rattachées. Les managers et les référents RSE ne sont plus les seuls acteurs du changement. Les « collaborateurs contributeurs » entrent dans la partie. Or, selon le baromètre RSE Ekodev de 2020, 71 % des collaborateurs des grands groupes s’estimaient mal ou peu informés sur la stratégie RSE de leur entreprise. « Seulement 21 % d’entre eux étaient associés à sa mise en place alors que plus de 70% se disaient prêts à y contribuer ».

L'EMPOWERMENT : ORIGINE, DEFINITION ET ENJEUX


L’empowerment : d’où ça vient ?

Né aux États-Unis au début du 20e siècle, le concept a pris toute sa dimension avec le mouvement contestataire pour l'égalité des droits civiques de la communauté afro-américaine. Il est alors associé au progrès social de lutte contre les inégalités et la pauvreté en faveur de l'autonomisation individuelle et collective. Le concept a aussi été repris plus tard par les femmes qui revendiquaient leurs droits et la fin des discriminations dans les entreprises.

C’est dans les années 90 que l’empowerment ou management collaboratif fait son entrée dans les entreprises françaises, dans la lignée du management participatif. Les entreprises avaient avant cela une vision basée sur la productivité salariale et l’organisation était du haut vers le bas (« top-down »). En intégrant l'empowerment dans les méthodes de gouvernance, la situation s’inverse pour devenir un modèle dit « Bottom-up », et parfois même horizontal.


L’Empowerment : quelle définition ?

Terme anglo-saxon, il se traduit par « l'empouvoirement », « la capacitation » ou encore « l’on-boarding ». Certains s’accordent à dire qu’il repose essentiellement sur l’autonomisation des salariés et le pouvoir d’agir. Nouveau type de management dans lequel les collaborateurs sont remis au centre : place à l’initiative et à la liberté d’action et à des valeurs comme la bienveillance, la confiance et la reconnaissance. Le concept englobe dans ce sens aussi bien la qualité de vie au travail (QVT) que la responsabilité sociétale des entreprises (RSE).

C’est tout un système de management qui est remis en cause : du principe de subordination, à celui d’intelligence collective. Passage de ce que l’institution peut donner à agir (le « sense giving ») à ce que les individus construisent ensemble (le « sense making »).


RSE participative : quels enjeux ?

L’empowerment des collaborateurs est à double-sens : l’engagement de l’entreprise vis-à-vis des collaborateurs, et celui de l’embarquement des collaborateurs vis-à-vis de l’entreprise. Quel que soit le point de vue depuis lequel on se place, engager les collaborateurs dans sa stratégie RSE sur le mode collaboratif ne présente que des avantages.

71% des salariés souhaitent que leur employeur leur fournisse des opportunités de s’investir dans des actions RSE pour améliorer l’impact social et environnemental de leur entreprise. Le marché du travail est sous pression et la RSE devient un des critères essentiels de l’attractivité et de la fidélisation des talents <> lire ici notre Quesako sur « la RSE, levier RH

Par ailleurs selon une étude du MIT Harvard, un collaborateur heureux et impliqué serait 31% plus productif. On constate aussi qu’une démarche RSE collaborative et inclusive basée sur l’intelligence collective, est souvent source d’innovation. L’on-boarding favorise bien sûr le dialogue social, entraînant naturellement plus d’adhésion. Sans oublier que les meilleurs ambassadeurs d’une marque sont bien les collaborateurs, qui par leur sentiment d’appartenance viennent « vernir » la marque employeur. Y compris dans leur sphère privée.



LES ACTEURS DE LA RSE : UNE SITUATION À CLARIFIER

Avant de pouvoir embarquer les salariés dans leur démarche RSE, les entreprises ont encore un rôle à jouer dans l’identification des porteurs de la stratégie RSE, leurs missions et leurs responsabilités. Chacun, comité RSE, équipe RSE, facilitateurs ou contributeurs, doivent avoir des missions et des périmètres bien définis.

Inexistante il y a 20 ans, la fonction RSE est devenue incontournable au sein des grandes entreprises mais se développe aussi dans les PME et les TPE. En fonction de leur taille, leurs moyens et leur raison d’être, les entreprises la mettent en place de différentes façons.

Plusieurs schémas, desquels peuvent naître quelques confusions. Des directions dédiées à la RSE au rattachement à des directions support : autant de modèle que d’entreprises. En 2018, 46% des fonctions RSE étaient rattachées à la direction générale, 13% à la direction communication et près de 8% aux Ressources humaines. Selon le baromètre Des Enjeux et des Hommes/Ekodev, réalisé auprès de 1 000 salariés d’entreprises privées, 48 % des répondants ne savaient pas qui portait la RSE au sein de leur entreprise. 45 % des collaborateurs interrogés ne savaient pas se prononcer non plus sur la performance de ces services.


Focus sur les comités RSE

82% des sociétés du CAC 40 ont mis en place un comité RSE. Mais quels que soient la taille ou le secteur d’activité de l’entreprise, le comité RSE reste une organisation interne non obligatoire. Il a simplement l’avantage de permettre le pilotage de l’ensemble de la démarche à impact positif, et la définition d’un cadre clair. Le comité RSE en plus de rapporter les actions aux instances de gouvernance, veille à impliquer les collaborateurs.

Pour les grandes entreprises, il prend souvent la forme d’un comité technique qui s’appuie sur un réseau d’ambassadeurs du développement durable représentatif des différents métiers de l’entreprise. A bien dissocier du Comité Social et Économique (CSE) instance représentative qui défend les intérêts du personnel, même si celui ci a été doté, depuis la loi climat et résilience d’août 2021, d’une nouvelle prérogative : « il peut proposer des solutions pour une meilleure prise en compte des questions environnementales et interpeller la direction à ce sujet »

Le comité RSE propose de nouvelles impulsions stratégiques (innovation produit, économie circulaire, analyse du cycle de fin de vie, …), mais aussi des actions concrètes (bilan carbone – relire ici notre Quesako sur le bilan GES des entreprises- tri des déchets, politiques d’achats et de mobilité responsables, réduction des consommations d’énergie, etc.)

La plupart des comités se réunissent deux ou trois fois par an et leurs travaux portent principalement sur :

- La revue des publications obligatoires de la société en matière de RSE (Déclaration de Performance Extra Financière qui deviendra la CSRD à partir de 2024)

- La définition et le suivi de la stratégie RSE et la communication du groupe à l’interne comme à l’extérieur

- L’élaboration de la « raison d’être » de l’entreprise, si concernée

- Les projets philanthropiques.

Dans tous les cas, le comité RSE a avant tout un rôle de conseil , de relai et de communication de la stratégie RSE aux parties prenantes et en particulier aux collaborateurs. Loin du rôle décisionnel que l’on pourrait lui prêter.

Cependant aujourd’hui, la démarche de responsabilité sociétale et environnementale s’étend au-delà des Comités ou directions dédiées. Un référent RSE ou directeur du développement durable et de la responsabilité sociale peut également être nommé en interne pour piloter la démarche. Il peut s’agir d’une création de poste entièrement dédié à la RSE, ou d’une mission attribuée à un collaborateur en plus de ses fonctions initiales. Souvent le cas dans les petites structures aux moyens plus réduits. A noter que celles-ci peuvent toujours faire appel à une Agence Conseil RSE, de manière ponctuelle ou suivie, qui les accompagnera dans le déploiement de leurs actions avec leurs collaborateurs.


On constate quoiqu’il en soit, que la RSE est de plus en plus intégrée à l’ensemble des activités et des départements des entreprises. Et les référents commencent à pouvoir s’appuyer sur un réseau d’ambassadeurs.


La création de réseaux d’ambassadeurs

On l’a évoqué, les différentes études montrent que les collaborateurs ne sont pas toujours au courant des stratégies RSE mises en place par leur entreprise. Là toute l’importance d’un réseau d’ambassadeurs RSE pour :

- Faire connaître et rayonner la stratégie RSE de l’entreprise à l’ensemble des collaborateurs

- S’assurer que la stratégie soit appliquée à tous les niveaux de l’entreprise.

- Vérifier que l’ensemble des décisions prisent par la direction soient en accord avec la stratégie RSE définie

- Informer les collaborateurs sur les actions menées ou à venir et leurs résultats obtenus

- Écouter les collaborateurs et les remontées du terrain pour les communiquer au service RSE.

Construire un réseau d’ambassadeurs nécessite de définir précisément leur rôle et leurs missions. Mais avant tout d’identifier les collaborateurs qui le composeront en fonction de leur sensibilité sur les sujets RSE ou leur domaine d’activité. Il ne s’agit pas seulement de constituer, il faut ensuite faire vivre en organisant des rendez-vous réguliers. Faire le point sur les actions et les avancées, et nouvelles priorités. Le réseau d’ambassadeurs tout comme une stratégie RSE n’est pas figé et doit évoluer. Il se renouvelle en fonctions des problématiques naissantes. Alors on intègre des nouveaux collaborateurs, les mieux placés pour remonter les problématiques et idées venant du terrain.


COMMENT IMPLIQUER LES SALARIÉS DANS UNE DÉMARCHE RSE ?

Fonctions dédiées ou rattachées, Comité, référents ou ambassadeurs RSE, chaque salarié peut aussi être appelé à, ou souhaiter devenir contributeur.

Parler RSE c’est avant tout mettre le point sur les actions des collaborateurs au quotidien qui participent déjà à la stratégie RSE de l’entreprise. Alors on simplifie le discours, on montre comment chacun peut agir, on forme les salariés et on fait le point régulièrement sur l’appropriation de la démarche par chacun. On entre alors dans une dynamique proactive du « construire ensemble ».


Management responsable : rôle essentiel dans l’empowerment des collaborateurs

L’autonomie est l’instauration de la notion de décision dans le travail passe par l’autonomisation des collaborateurs. Et l’impulsion doit venir de la direction qui accepte aujourd’hui de revoir son système de management. On passe historiquement d’un management hiérarchique (j’ai une idée, je prends une décision) au management participatif (J’émets une idée, je vous écoute, je prends une décision en tenant compte de vos avis, ou pas) enfin le management collaboratif dans lequel je définis un cadre et nous décidons ensemble. Il s’agit ici de donner à chacun les moyens de s’approprier l’avenir pour être en mesure de le transformer.


L’autonomisation des collaborateurs

Trois phases pour y parvenir :

- Le savoir : chaque collaborateur sait et peut donc parler de la politique et des actions RSE de l’entreprise

- L’action : grâce aux moyens donnés par l’entreprise pour faire passer le collaborateur d’observateur à acteur du changement

- La contribution : j’ai la liberté de prendre des initiatives pour apporter des idées et des solutions à mon entreprise.

Mais transformer les objectifs en actions concrètes n’est pas toujours simple. Encore faut-il permettre à chacun, de comprendre en quoi il est une partie prenante. En cela, le management responsable se caractérise par sa capacité à mobiliser, partager les objectifs et co-créer des solutions nouvelles avec l’ensemble des collaborateurs.

Certaines entreprises, les plus réfractaires au changement, verront dans l’autonomisation et l’implication des collaborateurs dans le processus décisionnel, une perte de temps et d’efficacité en situation de crise et donc perte financière si le processus de décision venait à allonger les délais. Or, correctement mené, les bénéfices seront bien plus importants en termes d’implication, de satisfaction personnelle, de sentiment d’appartenance et par conséquent de productivité.


Quelles actions pour une RSE participative ?

A l’origine de la mise en place des démarche RSE dans les entreprises, le partage de la stratégie se faisait principalement à travers des newsletters sur les actions mises en place, ou un intranet permettant aux salariés d’aller « à la pêche » aux informations. Or l’empowerment des collaborateurs ne se réduit plus à des outils de communication.

Il nécessite un rapport de proximité et des moments de partage : rencontres, groupes de travail, dialogue social, séminaires et formations, journées d’engagement…

On insistera sur la formation et la professionnalisation des référents, contributeurs et de l’ensemble des collaborateurs comme véritable processus d’implication.

Il peut aussi être question d’interroger régulièrement ses salariés par le biais de questionnaires : excellent moyen de tenir compte des avis de chacun et de considérer les idées de tous. Pour ce faire les entreprises peuvent faire appel à des consultants ou à des Agences RSE pour les aider à mettre en place les bons outils et les guider dans l’organisation dans ces temps participatifs.

Au-delà des instants privilégiés et ponctuels, les salariés doivent avoir accès à tout moment à des données chiffrées et explicatives montrant les avancées de l’entreprise sur ses actions RSE. Pour une prise de conscience que leur implication produit des résultats concrets. D’où l’importance de la mise en place et du suivi des indicateurs clés de performance (KPI).

L’empowerment des collaborateurs autour de la démarche RSE repose principalement sur un état d’esprit qui reste à développer. Par le biais de la sensibilisation toujours, de la formation surtout, mais aussi d’un accompagnement spécifique par les managers. Prendre la température des équipes, afin de mesurer leur engagement qui peut se traduire par des enquêtes régulières ou toute autre manière de recueillir l’avis de ses salariés. Le tout étant d’en tenir compte !


QUELQUES EXEMPLES D’EMPOWERMENT RSE

De plus en plus d’entreprises organisent des journées de sensibilisation ou séminaires RSE avec notamment des ateliers de formation aux enjeux climatiques. C’est le cas de la fresque du climat qui devient une véritable référence pour les citoyens et pour les entreprises. Certaines d’entre elles ont déjà commencé à dispenser l’atelier à l’ensemble de ses salariés. C’est le cas du Groupe la Poste, entreprise à mission, qui a pour ambition de former l’intégralité de ses salariés à horizon 2024. Ou France Télévisions qui vient d’annoncer que dans le cadre des reportages métropolitains et sauf exception extrême, les reporters ne prendront plus l’avion. En prime une formation climat sera dispensé à l’ensemble de la Rédaction.

Plus globalement, certaines entreprises lancent des programmes de recrutement pour favoriser l’insertion professionnelle des jeunes. C’est le cas de Sanofi France qui organise des rencontres entre les RH, les collaborateurs et des jeunes n’ayant pas toujours accès à la formation, à venir découvrir les 400 métiers de l’entreprise. A fois par mois, ces événements se soldent par des job dating.

Dans un autre esprit, des entreprises créent des potagers collaboratifs sur site (Ciel mon radis), d’autres lancent des challenges sportifs au profit d’associations, ou des journées de sensibilisation au handicap… et tellement d’autres initiatives.





L’important est de concrétiser ces temps forts par des temps d’engagements qui impliquent les collaborateurs.


L’Agence RSE Eco Eco vous propose aussi des ateliers fédérateurs, des workshops et des fresques pédagogiques, pour la sensibilisation et l’engagement de vos équipes. Nous avons par exemple imaginé un atelier dédié au recyclage via la fabrication d’arbres imaginaires à partir de matériaux recyclables. Objectif « un arbre fabriqué, un arbre planté ».

Autant d’alternatives qui sont mises à disposition des entreprises pour créer des moments de rencontre et de co-création. Vers toujours plus d’engagement grâce au pouvoir donné à l’action individuelle au sein du collectif.


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De la qualité de vie et du bien-être au travail <> relire notre Quesako sur le bien-être au travail) on monte d’un cran ici. On dépasse la question individuelle du bonheur au travail (même s’il reste essentiel). L’empowerment n’est pas une démarche de développement personnel. Elle est profondément sociale. Si l’impulsion doit venir de la direction et des managers et que les salariés ont de plus en plus envie d’agir, la mobilisation reste toutefois encore fragile. Or l’engagement vaut autant pour les entreprises que pour les collaborateurs. Plus d’une entreprise sur trois (37%) estime que ses équipes sont peu engagées (entre 5 et 25 %), et 22 % d’entre elles affirme que moins de 5 % des salariés seraient impliqués.


Pour pallier à cela, la sensibilisation reste la pratique la plus courante mais nous avons les moyens d’aller plus loin. A contrario, certains employés prennent le sujet en frontal et se constituent même en collectifs de salariés engagés afin d’accélérer la démarche RSE de leur entreprise. Un signal fort !

La mise en place d’une RSE collaborative et inclusive peut être complexe. Une chose est sure, elle doit s’appuyer avant tout sur communication claire et engageante.


ECO-ECO

L’agence RSE Eco Eco et son équipe vous accompagne dans votre démarche d’implication et d’embarquement de vos collaborateurs, dans le déploiement de votre stratégie et vos actions RSE.


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Sources :

- Cartographie des collectifs de salariés existants – mis à disposition par le mouvement « Pour un réveil écologique »


A lire aussi :

« Empowerment – Autonomie et bien commun pour une entreprise performante et humaine » de Patrick Storhaye - Éditions EMS, septembre 2019



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